Blasimon

Blasimon
Blasimon
La mairie (août 2012).
Blason de Blasimon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté des communes rurales de l'Entre-Deux-Mers
Maire
Mandat
Daniel Barbe
2020-2026
Code postal 33540
Code commune 33057
Démographie
Gentilé Blasimonais
Population
municipale
940 hab. (2021 en augmentation de 3,64 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 44′ 59″ nord, 0° 04′ 23″ ouest
Altitude Min. 22 m
Max. 130 m
Superficie 29,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Blasimon
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Blasimon
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Blasimon
Liens
Site web http://www.blasimon.fr/
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Blasimon (Blasimont, en occitan[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Localisation

La commune se trouve à 46 km à l'est-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 31 km au nord-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 7 km au nord de Sauveterre-de-Guyenne, ancien chef-lieu de canton[2].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Ruch au nord-est, Mauriac à l'est, Cleyrac au sud-est, Sauveterre-de-Guyenne au sud, Frontenac au sud-ouest, Lugasson à l'ouest, Jugazan à l'ouest-nord-ouest sur moins d'un kilomètre, Rauzan au nord-ouest et Mérignas au nord.

Carte
Les limites communales de Blasimon et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes de Blasimon
Rauzan Mérignas Ruch
Jugazan          

Lugasson
Blasimon Mauriac
Frontenac Sauveterre-de-Guyenne Cleyrac

Climat

Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Nouvelle-Aquitaine et Climat de la Gironde.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 834 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Talence à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

Typologie

Blasimon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46,7 %), forêts (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,9 %), prairies (7,6 %), terres arables (6 %), zones urbanisées (1,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

La principale voie de communication routière est la route départementale D17 qui traverse le village et mène vers le nord-nord-est en direction de Castillon-la-Bataille et vers le sud à Sauveterre-de-Guyenne ; la route départementale D127 permet de rejoindre Mérignas vers le nord et Cleyrac vers le sud-est, la route départementale D236 permet de rejoindre Lugasson vers l'ouest et la route départementale D127e3 permet de rejoindre Rauzan vers le nord-ouest ; l'ouest du territoire communal est traversé par la route départementale D670 qui relie Saint-Jean-de-Blaignac au nord-ouest à Sauveterre-de-Guyenne au sud en croisant ladite RD236.

L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 4, dit de La Réole, qui se situe à 30 km vers le sud.

L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 45 km vers le sud-sud-ouest.

L'accès le plus proche à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'échangeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe à 25 km vers le nord-ouest.

La gare SNCF la plus proche est celle de, Castillon-la-Bataille distante de 14 km,sur la ligne Libourne-Bergerac TER Nouvelle-Aquitaine, quand celle de Gironde-sur-Dropt sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine, est distante de 21 km par la route vers le sud. Sur la même ligne mais offrant plus d'opportunités de liaisons, la gare de La Réole se situe à 22 km par la route vers le sud-sud-est.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Blasimon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1991, 1999 et 2009[18],[16].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[19]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Blasimon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 465 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 465 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1990, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie

Le toponyme est documenté sous les formes latines Blandi mons (Xe siècle), Blandimonte (de ~, 980)[22], Blasii mons (1311)[23] ou romane Bladimont

Une étymologie populaire voudrait que le nom de Blasimon signifie « montagne de blé »[24]. Si la seconde partie du nom signifie bien "mont", la première, en revanche, provient d'un nom de personne : Blandinus. La forme Blavini Mons[25], attestée au Moyen Âge, est une relatinisation fautive : conformément à la phonétique historique, on aurait eu l'évolution Blavini Mons> *Blavimont ou *Blabimont[26].

la linguiste Bénédicte Boyrie-Fénié explique que l'étymologie est Blandino monte- > *Blandin-mont (disparition des finales muettes) > *Blandimont (assimilation) > *Bladimont (assimilation, peut-être avec attraction d'un dérivé de blat 'blé') > Blasimont (passage [d] > [z] en gascon oriental et garonnais)[26].

La graphie restituée est Blasimont.

Ses habitants sont appelés les Blasimonais[27].

Histoire

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Le , le roi d'Angleterre et duc d'Aquitaine Édouard III donne à Bérard Ier de Vayres, en récompense de ses services, les seigneuries de Blasimon, de Sauveterre et de Cubzac. Blasimon reste ensuite dans la famille de Bérard, la famille d'Albret[28].

À la Révolution, la paroisse Saint-Nicolas de Blasimon (avec la chapelle Saint-Jean) forme la commune de Blasimon. La paroisse Saint-Martin de Piis forme la commune de Piis (186 habitants au recensement de 1793[29]), celle de Saint-Martin de La Veyrie forme la commune de La Veyrie (100 habitants au recensement de 1793[30]) et celle de Notre-Dame de Cazevert, précédemment annexe de Saint-Sulpice de Bellefond, forme la commune de Cazevert (154 habitants au recensement de 1793[31]). Ces trois communes sont rattachées à la commune de Blasimon avant 1800[32],[33].

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Début de la liste des maires (de 1789 à 1922)
Période Identité Étiquette Qualité
1789 1795 Pierre Girard    
1795 1806 Daniel Claveau    
1806 1811 Jean Dubois Dufresne    
1811 1816 Barthélemy Augan    
1816 1822 Pierre Bonnet    
1822 1830 Jean André Icard    
1830 1832 Blaise Miramon    
1832 1848 Pierre Peyraud    
1848 1848 Guitard Dumaret    
1848 1852 Pierre Morein    
1852 1856 Barthélemy Augan de Caban    
1856 1860 Pierre Peyraud    
1860 1881 Bertrand Aristide Macluzeau    
1881 1904 Mathieu Eugène Lescourt    
1904 1922 Jacques Perie    
 
1922 mars 1965 Louis Saint-Jean    
mars 1965 mars 1983 Volny Favory SFIO-PS Conseiller général (1975-1985)
mars 1983 juin 1995 Pierre Lhomme    
juin 1995 mars 2008 Rodolphe Struk   Médecin
mars 2008 En cours Daniel Barbe[34] PS Employé
Vice-président de la CC du Sauveterrois puis Président de la Communauté des communes rurales de l'Entre-Deux-Mers
Conseiller départemental depuis 2021

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 940 habitants[Note 2], en augmentation de 3,64 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8861 2091 1821 1121 2381 1261 0501 0501 016
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0371 0091 1191 0231 0681 039944835888
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9811 0591 0141 0159601 034988972906
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
867836782666701711843877905
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2021 - - - - - - - -
940--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le chiffre de 1793 ne tient pas compte des habitants des communes absorbées avant 1800, Piis pour 186 habitants, La Veyrie pour 100 habitants et Cazevert pour 154 habitants, soit un total de 440 âmes.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Abbaye Saint-Maurice des XIIe et XIIIe siècles : monastère bénédictin qui date du XIIe siècle, en ruines, tour (reste de fortifications), ruines du cloître, classée au titre des monuments historiques en 1925[38].
  • Église Saint-Nicolas accolée à l'abbaye, au clocher-mur du XVIe siècle, classée au titre des monuments historiques en 1875[39]. L'église Saint-Nicolas abrite une cloche en bronze de 1622 elle-même classée en 1942[40].
  • L'abbaye et l'église Saint-Nicolas
  • Vue générale (août 2012).
    Vue générale (août 2012).
  • Vue sud (août 2012).
    Vue sud (août 2012).
  • Vue nord-est (août 2012).
    Vue nord-est (août 2012).
  • Le portail à l'ouest (août 2012).
    Le portail à l'ouest (août 2012).
  • Le clocher-mur à cinq baies (août 2012).
    Le clocher-mur à cinq baies (août 2012).
  • Église Saint-Martin de Piis, au sud-est du village, sur la route départementale D127 qui mène à Cleyrac. L'église est construite sur un site gallo-romain que le présent cimetière recouvre. Le chœur, qui fut remanié au XIVe siècle, était en état de ruines au XIXe siècle et l'église désaffectée. Au XXe siècle l'église a été restaurée et le rétablissement du culte a eu lieu en 1973.
  • L'église Saint-Martin de Piis (août 2012).
    L'église Saint-Martin de Piis (août 2012).
  • La façade de l'église Saint-Martin de Piis (août 2012).
    La façade de l'église Saint-Martin de Piis (août 2012).
  • Moulin de Labarthe du XIVe siècle, classé monument historique en 1926[41] et le moulin de La Borie du XIIIe siècle.
  • Menhir de Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle : vestige d'un alignement mégalithique signalé en 1886 par Léo Drouyn, le menhir ne mesure plus que 1,45 m de hauteur alors qu'il atteignait autrefois 2,50 m pour 1 m de large[42]. 44° 45′ 25″ N, 0° 04′ 35″ O
  • Dolmen de la Mouleyre
  • Sur la place centrale du village, un monument commémoratif honore le soldat FFI Roger Teillet, pendu, le 15 août 1944, à l'âge de 23 ans, par la Gestapo et la milice de Vichy sur ladite place.
  • Monument commémoratif de la Seconde Guerre mondiale. Ce Monument est situé sur le chemin allant vers le moulin de La Borie. Il a été élevé en souvenir des exactions perpétrées par la Gestapo, qui s’est rendue coupable du meurtre de résistants dans la commune de Blasimon.
  • Bastide fortifiée du XIVe siècle : arcades autour de la place centrale.
  • Arcades sur la place du village (août 2012).
    Arcades sur la place du village (août 2012).
  • Arcades sur la place du village (août 2012).
    Arcades sur la place du village (août 2012).
  • Le moulin de Labarthe (août 2012).
    Le moulin de Labarthe (août 2012).
  • Le monument aux morts (août 2012).
    Le monument aux morts (août 2012).
  • Monument à la Résistance sur la place centrale (août 2012).
    Monument à la Résistance sur la place centrale (août 2012).

Patrimoine naturel

  • Domaine départemental Volny Favory (promenade, pêche, baignade, tennis…).

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

Armes

Les armes de Blasimon se blasonnent ainsi :

D'azur aux trois besants d'or.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Blasimon, sur Wikimedia Commons
  • Blasimon, sur le Wiktionnaire
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • BnF (données)
  • Ressources relatives à la géographieVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Insee (communes)
    • Ldh/EHESS/Cassini
  • Site de la commune
  • Résultats du recensement de la population de Blasimon sur le site de l'INSEE, consulté le 9 novembre 2011.
  • Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Blasimon », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  • Blasimon sur le site de l'Institut géographique national (archive)

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

  1. « Diccionari toponimic occitan de Gironda »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur locongres.org (consulté le ).
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 40,8 km pour Bordeaux, 26 km pour Langon et 6,4 km pour Sauveterre-de-Guyenne. Données fournies par lion1906.com, consulté le 19 octobre 2012.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Blasimon et Talence », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Talence » (commune de Talence) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Talence » (commune de Talence) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Blasimon », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Blasimon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. Cartulaire de la Réole
  23. Yves Renouard, Rôles gascons : 1307-1317, t. IV, Paris, Imprimerie nationale, , 712 p. (lire en ligne)..
  24. Blasimon sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 20 novembre 2014.
  25. « Patrimoine de Blasimon », sur Blasimon (consulté le ).
  26. a et b Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5)..
  27. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 9 novembre 2011.
  28. Jean Bernard Marquette, Les Albret. L'ascension d'un lignage gascon (XIe siècle - 1360), Pessac, Ausonius, coll. « Scripta Mediaevalia » (no 18), , 702 p. (ISBN 9782356130389), p. 353.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Piis », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Veyrie », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Cazevert », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  32. Historique des communes, p. 7, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 29 mars 2013.
  33. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Commune de Blasimon sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 9 novembre 2011.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Classement de l'abbaye Saint-Nicolas », notice no PA00083149, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 28 août 2012.
  39. « Classement de l'église Saint-Nicolas », notice no PA00083150, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Classement MH de la cloche », notice no PM33000095, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  41. « Classement du moulin de Labarthe », notice no PA00083151, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Alain Beyneix, Monuments mégalithiques en Aquitaine, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, , 96 p. (ISBN 978-2-84910-957-1), p. 31.
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