Jean-Charles Jacquemin-Belisle

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Jacquemin.

Jean-Charles Jacquemin-Belisle
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
ToursVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 54 ans)
ToursVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
École nationale supérieure des beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
ArchitecteVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Jean-Bernard Toussaint Jacquemin-Bellisle (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Société centrale des architectes français (d)
Académie des sciences, arts et belles-lettres de TouraineVoir et modifier les données sur Wikidata
Maître
Œuvres principales
Palais de justice de Tours, hôtel de la Caisse d'épargne de ToursVoir et modifier les données sur Wikidata
Vue de la sépulture.

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Jean-Charles Jacquemin-Belisle est un architecte et maître d'œuvre français né le à Tours et mort le dans la même ville. Architecte de la Ville de Tours, il y construit en particulier les ateliers de l’imprimerie Mame et le palais de justice.

Biographie

Jean-Charles Jacquemin-Belisle est issu d'une famille d'architectes tourangeaux[1]. Il est l'arrière petit-fils de Jean-Bernard Jacquemin (1720–1786), géomètre et architecte de la cathédrale de Tours, le petit-fils de Jean-Bernard-Abraham Jacquemin (1756-1826) et le fils du naturaliste, géomètre et architecte Jean Bernard Jacquemin (1789-1853)[2] et de Charlotte Huault de Bellisle[3]. Il est en outre le neveu de Maxime Jacquemin (1795-1863), général et auteur militaire.

Il est l’élève de Gisors à l’École nationale supérieure des beaux-arts, dont il est lauréat en 1832[3].

Œuvre architecturale

Architecte de la Ville de Tours, on lui doit en particulier à ce titre l’hôtel Dussausoy, le palais de justice[4], un bâtiment pour la Caisse d’épargne[5] et les ateliers de l’imprimerie Mame à Tours[3],[6]. Une représentation du palais de justice de Tours est d'ailleurs gravée au flanc de son monument funéraire, au cimetière de La Salle à Tours[7].

  • Palais de justice de Tours
    Palais de justice de Tours
  • Siège de la Caisse d'Épargne de Tours
    Siège de la Caisse d'Épargne de Tours

Voir aussi

Bibliographie

  • Ludovic Vieira, « Une dynastie d'architectes tourangeaux : Les Jacquemin (1720-1869) », Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. XLV,‎ , p. 257-280 (lire en ligne).

Articles connexes

  • Catégorie:Monument à Tours

Liens externes

  • Ressources relatives aux beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • AGORHA
    • Artists of the World Online
  • Ressource relative à la rechercheVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • La France savante

Notes et références

Notes

Références

  1. Ludovic Vieira, « Une dynastie d'architectes tourangeaux : les Jacquemin (1720-1869) », bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. XLV,‎ , p. 257-280 (lire en ligne).
  2. Dictionnaire des scientifiques de Touraine, Académie des sciences, arts et belles-lettres de Touraine, 2017
  3. a b et c Ruth Fiori, « Jean-Charles Jacquemin-Belisle », sur un site du comité des travaux historiques et scientifiques, (consulté le ).
  4. « Le palais de justice de Tours », notice no IA00071370, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  5. « La Caisse d’épargne de Tours », notice no IA00071376, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  6. « L’imprimerie Mame à Tours », notice no IA00071377, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  7. « Le cimetière La Salle à Tours », sur imagesphotos.eu (consulté le ).
  • icône décorative Portail de l’architecture et de l’urbanisme
  • icône décorative Portail de Tours
  • icône décorative Portail de la France au XIXe siècle