Jesús Franco

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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Franco.

Jesús Franco
Jess Franco au festival Fantastic'Arts 2008
Biographie
Naissance

Madrid, Espagne
Décès
(à 82 ans)
Malaga, Espagne
Nom de naissance
Jesús Franco Manera
Surnom
Jess Franco
Pseudonymes
David Khune, Jess FrankVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Drapeau de l'Espagne Espagnole
Activités
Réalisateur, réalisateur, acteur, compositeur, cadreur, scénariste de cinéma, monteur, producteur de cinéma, directeur de la photographie, scénariste, cinéasteVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
Fratrie
Dolores Franco Manera (d)
Enrique Franco (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Lina Romay (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Genres artistiques
Film d'horreur, érotisme (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Films notables
Filmographie de Jesús Franco (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Jesús Franco Manera, ou Jess Franco, est un cinéaste espagnol né le à Madrid et mort le [1] à l'âge de 82 ans.

Spécialisé dans les films mêlant horreur et érotisme, il a travaillé sous de nombreux pseudonymes, dont Clifford Brown, Adolf M. Frank, J.P. Johnson, David Khune et Jess Frank.

Biographie

Jess Franco reçoit une formation classique au Conservatoire royal supérieur de musique de Madrid, où il apprend le piano. Il entame sa carrière cinématographique en tant que compositeur en 1954. Il se lance dans la réalisation avec des courts métrages de commande (films d'entreprise comme El árbol de España en 1957, courts à visée culturelle). Son premier long métrage, Tenemos 18 años, est achevé en 1959, premier d'une longue série de 185 films.

Franco tourne des productions à petit budget, son acharnement au travail le pousse à sortir parfois plusieurs films à la fois malgré des problèmes de distribution quasi-systématiques (certains de ses films sont directement sortis en vidéo), utilisant pour ce faire un entourage en accord avec ses visions, capable de tourner plusieurs films en même temps, parfois sans même être au courant (le réalisateur faisait parfois tourner des scènes pour un prochain film à ses acteurs, sans les avoir prévenus). Le réalisateur a travaillé pour ses compagnies de production variées du continent européen, notamment la firme française Eurociné, spécialisé dans le très petit budget. Franco propose un cinéma artisanal, parfois bâclé mais qui a toujours privilégié le fond sur la forme en laissant volontairement de côté les artifices de production au bénéfice d'une urgence créatrice[2].

Sa rencontre avec la jeune Lina Romay dans les années 1970 (rencontrée après le décès de sa muse Soledad Miranda) bouleverse non seulement sa vie privée mais aussi artistique, Romay jouant dans la quasi-totalité de ses films ultérieurs. Franco fait de son égérie un personnage sulfureux aux rôles souvent tendancieux, parfois pervers. Dans les années 1990, Franco a également fait tourner plusieurs actrices américaines dans certains de ses films parmi lesquelles Michelle Bauer et Linnea Quigley, deux scream queens populaires aux États-Unis dans les années 1980.

Tout au long de sa carrière, Franco a occupé tous les postes : réalisateur, scénariste, producteur, monteur, acteur, compositeur, ingénieur du son et directeur de la photographie.

Il a également travaillé comme assistant réalisateur pour Orson Welles sur le tournage de Falstaff, et a effectué un montage de son Don Quichotte inachevé.

La monstruosité féminine interne dans le cinéma de Jesús Franco

Le concept de monstruosité féminine est exploré dans le cinéma mondial, en particulier dans les œuvres du cinéaste Jesús Franco. Également connu sous le nom de Jess Franco, il était un cinéaste espagnol influent, réputé pour son vaste corpus d’œuvres, englobant près de 200 films, se concentrant principalement sur les films d’horreur et de sexploitation[3]. Mettant l’accent sur l’intersectionnalité de la sexualité, du genre et de la violence, Franco crée des pièces stimulantes qui contestent les attentes et repoussent les limites sociétales.

Les films de Franco transcendent les manifestes extérieurs, s’aventurant dans les paysages complexes de la psyché humaine, explorant profondément la monstruosité interne et les complexités de l’esprit humain. Au cœur du concept de « monstruosité féminine interne », il offre des explorations viscérales, des émotions brutes, de la convoitise et de la rage. Dans lequel les femmes se transforment en êtres surnaturels, ou en incarnations de désirs primaires. À la frontière de la pornographie, il a réalisé des films mémorables comme « Vampyros Lesbos, » (1971). Une exploration de la monstruosité intérieure féminine à travers un mélange d’horreur, d’érotisme et de surnaturel[4]. En embrassant le grotesque et le macabre, Franco oblige le spectateur à se confronter à des vérités inconfortables sur la nature humaine et sa capacité au mal.

Vampyros Lesbos (1971)

En toile de fond d’Istanbul, « Vampyros Lesbos » suit Linda Westinghouse (Ewa Strömberg), une jeune femme attirée par la séduisante vampire comtesse Nadine Carody (Soledad Miranda). En raison de son obsession du sang, les frontières entre la vie et la mort, le plaisir et la douleur deviennent de plus en plus floues. Le film aborde des sujets comme la politique des genres (le lesbianisme, l’érotisme) et l’attrait du surnaturel. Adoptant des relations lesbiennes explicites, le film s’attaque aux perceptions conservatrices sur la sexualité et présente une vision nuancée de la féminité monstrueuse. Au lieu d’être punis pour leurs désirs, les personnages développent un lien basé sur la compréhension mutuelle et l’attirance qu’ils éprouvent l’un envers l’autre[5].

Dimension psychologique de la monstruosité féminine – Sexe et violence

À travers des séquences oniriques et des images surréalistes, Franco crée un paysage psychologique (un psychodrame sensuel) dans lequel les personnages affrontent leurs désirs les plus intimes, leurs peurs et les conséquences de succomber à leurs pulsions les plus sombres. Grâce au sexe et à la violence, leur nature vampirique leur permet de transcender les limites imposées aux femmes pour exprimer ouvertement leurs désirs sexuels. Franco mélange le surnaturel et le psychologique en présentant le vampirisme comme une métaphore des désirs refoulés et des tabous sociaux. Les personnages du film sont pris dans un réseau d’enchevêtrements sensuels et psychologiques qui brouillent les frontières entre la prédation et la proie. Ils incarnent alors des conflits internes, des émotions opposées suscitées par le vampirisme : attirance sexuelle intense associée à des instincts innés de survie (désir et peur). L’objectif de Franco est de capter la sensualité des rencontres vampiriques en introduisant dans le film des scènes explicites d’érotisme et de violence, en particulier, par le thème du sadomasochisme. Le réalisateur Franco utilise beaucoup de nudité et de violence, ainsi que des effets spéciaux particuliers pour mettre l’accent sur le thème de la monstruosité féminine. Ces personnages naviguent dans un monde où la sensualité devient une source de danger par l’aspect de domination et de soumission: éléments de BDSM présentés lors des interactions entre la Comtesse Nadine Carody et les autres personnages (p. ex. l’acte de mordre et de consommer du sang)[6]. L’usage de la violence est présenté comme une métaphore pour se libérer des contraintes sociales.

Problématique

Les figures vampiriques du film incarnent une forme unique de monstruosité féminine qui s’oppose aux normes et aux attentes sociales. Contrairement aux représentations traditionnelles des vampires, elles symbolisent la libération des contraintes patriarcales. Le traitement de Franco sur la monstruosité et la sexualité féminines suscite des controverses. Les films de Franco comportent une nudité excessive et des tendances fétichistes qui réduisent les personnages féminins à des objets du désir. La cinématographie de Jess porte sur sa représentation négative des femmes et de la sexualité : « female vampires as feminist boundary-pushers »[7]. Le vampirisme antagonise les femmes de la société, le plus qu’elles sont indépendantes/autonomes le plus qu’elles sont considérés dangereuses pour les hommes et une menace contre la patriarchy. Les femmes perdent leur innocence domestique par une manifestation de caractéristique surnaturelle telle que la nécessité de se nourrir du sang pour maintenir l’immortalité. Cela dépeint les vampires féminins comme corrompus, séduisantes et dangereuses. Symbolisant l’aspect plus sombre de la nature humaine. Cette anxiété culturelle alimente la perception de la monstruosité féminine interne[8]. Son œuvre objectifie et exploite les femmes, ce qui entretient des stéréotypes nuisibles plutôt que de les démonter. Se fondant sur la conviction que les femmes abusent du pouvoir de la féminité, il estime que la séduction mène au mal et même à la mort (surtout dans le cas d’une relation homme-femme).

Hommage

Filmographie

Années 1950

  • 1957 : EL ARBOL DE ESPANA aka THE TREE OF SPAIN
  • 1959 : Tenemos 18 años
  • 1959 : Las playas vacías
  • 1959 : Oro español

Années 1960

Années 1970

Années 1980

  • 1980 : Symphonie érotique (Sinfonía erótica)
  • 1980 : Deux espionnes avec un petit slip à fleurs (Ópalo de fuego : Mercaderes del sexo)
  • 1980 : Eugenie - Historia de una perversión
  • 1980 : Une fille pour les cannibales / Mondo cannibale (sous le nom de Jess Franco)
  • 1980 : Chasseur de l'enfer / Chasseurs d'hommes / Sexo caníbal (sous le nom de Clifford Brown)
  • 1981 : El Sexo está loco (sous le nom de Jesse Franco)
  • 1981 : La Lune de sang / Die Säge des Todes
  • 1981 : Les Filles de Copacabana / Las chicas de Copacabana
  • 1981 : La Proie du désir / Cecilia / Aberraciones sexuales de una mujer casada (sous le nom de Clifford Brown)
  • 1981 : Linda / Die nackten Superhexen vom Rio Amore
  • 1981 : La chica de las bragas transparentes
  • 1981 : Sadomania / Sadomania - Hölle der Lust / Hellhole Women (sous le nom de Robert Griffin)
  • 1982 : L'Abîme des morts vivants / Le Trésor des morts vivants (sous le nom de A.M. Frank)
  • 1982 : La Chute de la maison Usher (Revenge in the House of Usher)
  • 1982 : Emmanuelle Forever / Las orgías inconfesables de Emmanuelle (sous le nom de Clifford Brown)
  • 1982 : El huésped de la niebla (non crédité)
  • 1982 : El lago de las vírgenes
  • 1983 : Voces de muerte
  • 1983 : Sangre en mis zapatos (sous le nom de Clifford Brown)
  • 1983 : En busca del dragón dorado (sous le nom de James P. Johnson)
  • 1983 : Los blues de la calle Pop / Aventuras de Felipe Malboro, volumen 8 (sous le nom de David Khune)
  • 1983 : Botas negras, látigo de cuero
  • 1983 : La noche de los sexos abiertos
  • 1983 : La tumba de los muertos vivientes (sous le nom de A.M. Frank)
  • 1983 : Les Diamants du Kilimanjaro / El tesoro de la diosa blanca / Mondo cannibale IV (sous le nom de Cole Polly)
  • 1983 : Confesiones íntimas de una exhibicionista (non crédité)
  • 1983 : La casa de las mujeres perdidas / Perversión en la isla perdida
  • 1983 : Gemidos de placer
  • 1983 : El hotel de los ligues
  • 1983 : Macumba sexual
  • 1984 : Bahía blanca
  • 1984 : El asesino llevaba medias negras
  • 1984 : Camino solitario
  • 1984 : Historia sexual de O
  • 1984 : Mil sexos tiene la noche
  • 1984 : ¿Cuánto cobra un espía?
  • 1984 : El siniestro doctor Orloff / Experimentos macabros
  • 1984 : Lilian (La virgen pervertida) (sous le nom de Clifford Brawn)
  • 1984 : Una rajita para dos (sous le nom de Rosa María Almirall)
  • 1985 : Viaje a Bangkok, ataúd incluido
  • 1985 : Una de chinos
  • 1985 : La dombra del judoka contra el doctor Wong (sous le nom de Clifford Brown)
  • 1985 : El hombre que mató a Mengele
  • 1985 : La esclava blanca
  • 1985 : Bangkok, cita con la muerte (sous le nom de Clifford Brown)
  • 1985 : Juego sucio en Casablanca (sous le nom de Jess Franco)
  • 1985 : Un pito para tres (non crédité)
  • 1985 : La mansión de los muertos vivientes (sous le nom de D. Khunne)
  • 1985 : El chupete de Lulú (sous le nom de Lulú Laverne)
  • 1986 : Las ùltimas de Filipinas
  • 1986 : Las tribulaciones de un Buda Bizco (sous le nom de Jess Franco)
  • 1986 : Sida, la peste del siglo XX (sous le nom de Clifford Brown)
  • 1986 : Para las nenas, leche calentita (non crédité)
  • 1986 : La chica de los labios rojos
  • 1986 : Bragueta historia
  • 1986 : Orgasmo perverso
  • 1986 : El ojete de Lulú (sous le nom de Candy Coster)
  • 1986 : El Mirón y la exhibicionista (sous le nom de Lulu Laverne)
  • 1986 : Entre pitos anda el juego (non crédité)
  • 1986 : Sola ante el terror / Alone Against Terror (sous le nom de Clifford Brown)
  • 1986 : Las chuponas (non crédité)
  • 1986 : Les Amazones du temple d'or (non crédité)[10]
  • 1987 : Esclavas del crimen (sous le nom de James Lee Johnson)
  • 1987 : Las chicas del tanga (sous le nom de Rosa María Almirall)
  • 1987 : Phollastía (sous le nom de Betty Carter)
  • 1987 : Falo crest (sous le nom de Lennie Hayden)
  • 1988 : Les Prédateurs de la nuit
  • 1988 : Dark Mission : Les Fleurs du mal (sous le nom de Jess Franco)
  • 1989 : La Chute des aigles (sous le nom de Jess Franco)
  • 1989 : La Bahía esmeralda

Années 1990

  • 1991 : À la poursuite de Barbara
  • 1992 : El abuelo, la condesa y escarlata la traviesa
  • 1994 : Ciudad baja
  • 1996 : Killer Barbys / Vampire Killer Barbys
  • 1997 : Tender Flesh (sous le nom de Jess Franco)
  • 1998 : Mari-Cookie and the Killer Tarantula in 8 Legs to Love You (sous le nom de Jess Franco)
  • 1998 : Lust for Frankenstein
  • 1999 : Vampire Blues (sous le nom de Jess Franco)
  • 1999 : Red Silk (sous le nom de Clifford Brown Jr.)
  • 1999 : Dr. Wong's Virtual Hell
  • 1999 : Broken Dolls (sous le nom de Jess Franco)

Années 2000

  • 2000 : Helter Skelter (sous le nom de Clifford Brown Jr.)
  • 2000 : Obietivo a ciégas (sous le nom de Jess Franco)
  • 2001 : Vampire Junction (sous le nom de Jess Franco)
  • 2002 : Incubus
  • 2002 : Killer Barbys vs. Dracula (sous le nom de Jess Franco)
  • 2005 : Flores de perversión (vidéo)
  • 2005 : Flores de la pasión (vidéo)
  • 2005 : Snakewoman (sous le nom de Jess Franco)
  • 2008 : La cripta de las mujeres malditas (sous le nom de Jess Franco)

Années 2010

  • 2010 : Paula-Paula (sous le nom de Jess Franco)
  • 2012 : Al Pereira versus the Alligator Women

Notes et références

  1. Nicolas Balazard, « Décès du réalisateur Jesus Franco », Télérama'vodkaster,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. Alain Petit, Jess Franco ou les prospérités du bis, Paris, Artus films, (ISBN 978-2-9548435-3-7)
  3. (en) « Director most dangerous: Vatican condemned films », sur The Sydney Morning Herald, (consulté le )
  4. (en) « Jess Franco – A Beginner's Guide », sur an unpolitical thing, (consulté le )
  5. (en) Jaime Rebanal, « Vampyros Lesbos – Review », sur Cinema from the Spectrum, (consulté le )
  6. Shelby Nathanson, « Bite Me: Sadomasochistic Gender Relations in Contemporary Vampire Literature », HIM 1990-2015,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. « How the vampire became film’s most feminist monster », sur The Dissolve (consulté le )
  8. (en) Katie O’Connor, « The Interior Other: Gender and Monstrosity in Victorian Gothic Novels », Spectrum, vol. No. 11, no 2023,‎ , p. 2 (lire en ligne [PDF])
  9. Jess Franco - La Cinémathèque française
  10. Le film est signé James Gartner qui est un pseudonyme d'Alain Payet

Voir aussi

Bibliographie

  • Lucas Balbo, Peter Blumenstock, Christian Kessler, Additional Material by Tim Lucas, Obsession - The Films of Jess Franco (Foreword by Howard Vernon), Published by Graf Haufen and Frank Trebbin, 1993. 256 p.
  • Alain Petit, Manacoa Files, 1994-1999
  • Alain Petit. Jess Franco ou les prospérités du bis. Artus films, 2015. (ISBN 978-2-9548435-3-7)
  • Jess Franco, Memorias del tío Jess, 2004 (autobiographie, en espagnol)
  • Stéphane du Mesnildot, Jess Franco : Énergies du fantasme, éd. Rouge Profond, 2004.
  • Daniel Bastié, Jess Franco : L’homme aux 200 films, éd. Grand Angle, 2014
  • Christian Berger, « Nécrologie des personnalités disparues en 2013 : Jesus Franco », L'Annuel du Cinéma 2014, Editions Les Fiches du cinéma, Paris, 2014, 800 p., p. 778, (ISBN 978-2-902-51624-7)
  • « Director most dangerous: Vatican condemned films », sur The Sydney Morning Herald, 13 juin 2013, https://www.smh.com.au/national/director-most-dangerous-vatican-condemned-films-20130614-2o8oo.html
  • « Jess Franco - A Beginner's Guide », sur an unpolitical thing, 16 mars 2008 (consulté le 5 février 2024), https://choicegrinds.wordpress.com/2008/03/16/jess-franco-a-beginners-guide/
  • Jaime Rebanal, « Vampyros Lesbos - Review », sur Cinema from the Spectrum, 28 décembre 2016 (consulté le 5 février 2024), https://cinemafromthespectrum.com/2016/12/28/vampyros-lesbos-review/
  • Shelby Nathanson, « Bite Me: Sadomasochistic Gender Relations in Contemporary Vampire Literature », HIM 1990-2015, (consulté le 5 février 2024), https://stars.library.ucf.edu/honorstheses1990-2015/1607
  • « How the vampire became film's most feminist monster », sur The Dissolve (consulté le 5 février 2024), https://thedissolve.com/features/exposition/964-how-the-vampire-became-films-most-feminist-monster/
  • Katie O’Connor, « The Interior Other: Gender and Monstrosity in Victorian Gothic Novels », Spectrum, vol.  No. 11, no 2023, août 2023, p. 2, https://doi.org/10.29173/spectrum183

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